Le féminisme : le grand destructeurUne interview du Dr. William L. PiercePar Kevin Alfred Strom |
K.A.S.
: Il y a un débat public continuel sur le rôle des femmes
dans notre société et sur les sujets associés du sexisme
et du féminisme. Un exemple en fut le tapage qui suivit la confirmation
de la nomination de Clarence Thomas à la Cour Suprême. Les
féministes et leur claque dans les médias clamèrent
que cette confirmation était la preuve du «sexisme»
rampant de l'Establishment politique américain. Le remède
à ce problème supposé est d'avoir plus de femmes à
des postes de pouvoir politique, d'après beaucoup de gens des médias.
[Image: William Pierce.]
Un autre exemple fut le tumulte fait autour d'une fête bien arrosée il y a quelques années à Las Vegas pour des aviateurs de la Marine, où plusieurs femmes qui se la jouaient un peu furent «tripotées» -- en particulier une femme-aviateur qui se plaignit plus tard de ce traitement devant les médias. L'écho médiatique de la fête de Las Vegas provoqua de la part des porte-parole des médias et des politiciens des demandes pour éradiquer le «sexisme» dans les forces armées et donner aux femmes un rôle égal dans tous les domaines, de l'infanterie de combat aux pilotes d'avions de chasse. Voyez-vous vraiment un sens profond à ce débat? W.L.P. : Oh, c'est certainement un débat important. Son importance n'est peut-être pas exactement celle que les porte-parole des médias voudraient nous faire croire qu'elle est, mais elle existe quand même. Pour trouver la vraie signification, pour la mettre en lumière afin que chacun puisse la voir et l'examiner, il faut néanmoins un peu d'attention. Il y a beaucoup de mauvaise information, beaucoup de tromperie délibérée dans ce débat. Prenons le premier exemple que vous avez mentionné. Les médias sous contrôle voudraient nous faire croire que l'approbation de Clarence Thomas par le Comité des Magistrats du Sénat face à la plainte d'Anita Hill démontre une complète insensibilité à la condition des femmes. Mais quels étaient les motifs de la plainte d'Anita Hill? Ils étaient que quand Thomas avait été son patron dans la Commission pour l'Egalité des Chances à l'Emploi, il lui avait demandé plusieurs fois un rendez-vous et qu'en une occasion il avait commencé à lui décrire un film porno qu'il avait vu la soirée d'avant. Elle n'a jamais prétendu qu'il lui avait demandé des faveurs sexuelles, ni qu'il l'avait menacée, ni mis ses mains sur elle. Le motif de sa plainte était qu'il avait montré un intérêt normal et sain pour elle en tant que femme. Il lui avait demandé un rendez-vous. Lui avoir parlé d'un film porno peut indiquer un certain manque de raffinement de sa part -- du moins ce serait le cas si tous deux étaient membres d'une société blanche traditionnelle, dans laquelle les gentlemen ne parlent pas de films porno en présence de dames, du moins pas pendant le travail -- mais où est le problème quand les gens qui font une telle histoire à cause du comportement de Thomas sont tous, comme Clarence et Anita eux-mêmes, membres de la brave société du Nouvel Ordre Mondial, qui n'est ni blanche ni traditionnelle. C'est une société dénommée «multiculturelle» dans laquelle il n'y a ni gentlemen ni dames; il y a seulement des mâles et des femelles, et les femelles ne sont pas différentes des mâles: elles sont tout aussi grossières, vulgaires et agressives. K.A.S. : Vous pensez donc que toute l'affaire n'était qu'une tempête dans un verre d'eau, que ça n'avait vraiment pas d'importance? W.L.P. : Une tempête dans un verre d'eau, oui, mais tout de même très significative. Un aspect de ce cirque avec Clarence et Anita est qu'il a été simplement récupéré et utilisé par des gens ayant un certain programme politique, et donc bien sûr leur intention était de faire autant de bruit qu'ils le pouvaient avec ça. Mais un autre aspect est que beaucoup des féministes qui hurlaient contre Thomas et contre l'approbation du Sénat étaient en fait indignées que l'homme ait demandé un rendez-vous à Anita Hill. En fait elles étaient indignées qu'il ait montré un intérêt pour elle en tant que femme et qu'il ne l'ait pas traitée simplement comme n'importe quel autre juriste dans son service. Les hommes sont supposés ne pas regarder les femmes comme des femmes, mais seulement comme des gens, et les féministes radicales deviennent enragées si l'on oublie ce simulacre unisexe ne serait-ce qu'une minute. Tenez la porte à l'une d'entre elles et vous serez un sale voyeur; appelez-en une «ma chère» ou parlez-en comme d'une «fille» et vous serez poursuivi en justice. Le bruit fait au sujet de cette fête de la Tailhook Association à Las Vegas révèle la même sorte de folie. Je veux dire par là, à quoi pouvez-vous vous attendre quand une bande d'aviateurs de la Navy se livrent à une orgie sauvage et bien arrosée? Ils faisaient cette fête tapageuse à Las Vegas depuis plusieurs années, et leur petite fête avait acquis une certaine réputation. C'était notoire. Tout le monde dans l'aviation de la Navy était au courant. Les femmes de la Navy qui sont allées à cette fête savaient à quoi s'attendre. Elles se sont jointes à l'orgie. Toute femme qui ne voulait pas être tripotée par des aviateurs ivres et se faire baisser sa culotte pouvait rester en-dehors. Certainement, si ces aviateurs avaient attrapé des femmes passant dans la rue et les avaient forcées à subir ces indignités, je serais le premier à appeler à les sanctionner durement. J'irai plus loin et je dirai qu'en fait je désapprouve la soûlerie en toutes circonstances -- bien que je pense qu'il est réaliste d'accepter le fait que les beuveries font partie de la vie militaire. Mais je ne peux pas éprouver beaucoup de sympathie pour une femme qui, sachant à quoi ressemblent les fêtes du Tailhook, prétend qu'elle n'est pas vraiment une femme mais plutôt un aviateur asexué de la Navy et qui se rend donc à la fête du Tailhook sans s'inquiéter pour sa culotte. K.A.S. : C'est vraiment irrationnel, n'est-ce pas? Cela n'a pas de sens d'ignorer ainsi la nature humaine. W.L.P. : L'irrationalité semble être la règle plutôt que l'exception dans les affaires publiques ces jours-ci. Le féminisme, bien sûr, n'est qu'une manière de nier la réalité, ce qui est devenu un passe-temps ordinaire. Il y a trop de gens ici qui croient que si nous prétendons que les hommes et les femmes sont semblables, ils le seront réellement; que si nous prétendons qu'il n'y a pas de différences entre les Noirs et les Blancs excepté la couleur de la peau, les différences disparaîtront; que si nous prétendons que l'homosexualité est une chose normale et saine, elle le sera. Le féminisme est l'une des aberrations les plus destructrices mises en avant par les médias aujourd'hui, parce qu'il a un effet immédiat sur la quasi-totalité d'entre nous. Il y a de nombreux secteurs de l'économie, par exemple, où le recrutement et la promotion sur quota racial -- la dénommée «discrimination positive» -- n'est pas un réel problème, et donc les Blancs qui travaillent dans ces secteurs restent relativement épargnés par les aspects raciaux de la dépression de l'Amérique, mais le féminisme se répand partout; il y a peu de relations entre hommes et femmes, particulièrement entre jeunes hommes et jeunes femmes, qui ne souffriront pas des effets du féminisme dans le futur proche. K.A.S. : Vous avez parlé du féminisme comme d'une «aberration destructrice» et parlé de la dépression de l'Amérique. Les deux choses sont-elles liées? W.L.P. : Quand les homosexuels sortent des toilettes et que les femmes entrent en politique, les empires s'écroulent. Ou, pour dire cela d'une manière qui reflète plus exactement la relation de cause à effet, quand les empires commencent à s'écrouler, alors les homos sortent des toilettes et les femmes entrent en politique. Ce qui revient à dire que dans une société forte et saine, le féminisme n'est pas un problème. Mais quand une société commence à décliner -- quand les hommes perdent leur confiance en eux -- alors le féminisme redresse la tête et accélère le processus de déclin. K.A.S. : Avant d'aller plus loin, qu'entendez-vous exactement par féminisme? Pouvez-vous définir le mot pour nous? W.L.P. : Le féminisme est un système d'idées avec plusieurs caractéristiques particulières. Premièrement, c'est un système dans lequel le sexe est considéré comme la première caractéristique identifiante, plus importante même que la race. Deuxièmement, et paradoxalement, c'est un système dans lequel les hommes et les femmes sont considérés comme naturellement identiques dans tous leurs traits intellectuels et psychiques, et dans tous leurs traits physiques exceptés ceux qui sont le plus manifestement dépendants de la configuration du système génital. Troisièmement, c'est un système dans lequel le fait de jouer un rôle traditionnellement masculin dans la société est valorisé davantage que le fait d'être une épouse et une mère, un système dans lequel les rôles féminins traditionnels sont dénigrés. Finalement, c'est un système dans lequel les hommes et les femmes sont considérés comme des classes mutuellement hostiles, où les hommes ont traditionnellement le rôle d'oppresseurs des femmes; et dans lequel on considère que le premier devoir de chaque femme est de soutenir les intérêts de ses congénères femmes de toutes races contre les oppresseurs mâles. J'ajouterai que les femmes qui se décrivent elles-mêmes comme féministes ne cadreront pas toutes à 100% avec cette définition. Le véritable féminisme n'est pas seulement une chose intellectuelle; c'est une maladie, avec de profondes racines émotionnelles. Certaines femmes veulent seulement être à la mode, mais sont normales à part ça. Elles veulent juste être à la mode, et le féminisme est présenté comme étant à la mode par les médias ces jours. Il est politiquement correct. Et pendant que nous y sommes, nous pouvons noter qu'il y a une maladie analogue, qu'on appelle d'habitude phallocratie, qui s'exprime par une série d'attitudes envers les femmes, allant du mépris condescendant à l'hostilité déclarée. Les féministes attribuent souvent la croissance du féminisme à une réaction contre la phallocratie. En réalité celle-ci, qui n'a jamais touché plus qu'une minorité d'hommes blancs, a davantage été une excuse pour les promoteurs du féminisme qu'une cause de ce désordre. K.A.S. : OK. Donc voilà ce qu'est le féminisme. Maintenant, de quelle manière est-il destructeur? Comment est-il lié au déclin de l'Amérique? W.L.P. : Le féminisme est destructeur à plusieurs niveaux différents. Au niveau racial il est destructeur parce qu'il divise notre race, nous privant de notre solidarité raciale et nous affaiblissant dans la lutte pour la survie raciale; et parce qu'il réduit le taux de natalité des Blancs, particulièrement parmi les femmes cultivées. Il sape également la famille en attirant les femmes hors du foyer et en laissant l'éducation des enfants aux soins de la télévision et des garderies. A un niveau personnel ou social, le féminisme cause des dégâts en érodant la relation traditionnelle entre hommes et femmes. Cette relation traditionnelle n'est pas basée sur une supposition d'égalité ou de similitude. Ce n'est pas une relation symétrique, mais plutôt complémentaire. Elle est basée sur une division sexuelle du travail, avec des rôles fondamentalement différents pour les hommes et les femmes: les hommes sont les fournisseurs et les protecteurs, et les femmes sont les éducatrices. Les hommes rapportent de quoi faire bouillir la marmite, et ils gardent la tanière; les femmes nourrissent les enfants et s'occupent du foyer. Aujourd'hui beaucoup de gens se moquent de cette relation traditionnelle. Ils pensent que dans le Nouvel Ordre Mondial il n'y a pas besoin de protéger la tanière ou l'appartement ou autre, parce qu'aujourd'hui nous sommes tous très civilisés, et que tout ce qu'on a besoin de faire pour ramener le casse-croûte à la maison est de sauter dans la voiture et d'aller à la galerie marchande la plus proche, et bien sûr une femme peut faire ça aussi bien qu'un homme. Donc, parce que les temps ont changé, les rôles doivent changer. Il n'y a plus de raison pour conserver une division du travail; maintenant nous pouvons tous être pareils, affirment les apologues du féminisme. Maintenant, j'ai deux problèmes avec cette manière de raisonner. D'abord, je ne suis pas si pressé de jeter à la poubelle des traditions vieilles d'un million d'années, comme le sont les enthousiastes du Nouvel Ordre Mondial, parce que je n'ai pas aussi confiance dans la capacité du gouvernement à fournir une protection à la totalité d'entre nous, et je ne suis pas non plus aussi sûr qu'il y aura toujours de la nourriture dans les magasins du voisinage et que nous n'aurons pas à revenir aux anciennes manières de la trouver. En fait, je suis un optimiste de nature, mais je ne suis pas optimiste au point de croire que je n'aurai jamais besoin d'utiliser ma force ou mes instincts de combat pour protéger ma famille. En fait, chaque fois que je regarde le journal du soir à la télévision, je suis encore plus convaincu qu'il y a une très bonne chance que nous ayons à combattre pour notre subsistance dans les prochaines années. En second lieu, Mère Nature a fait un très gros investissement dans sa manière de faire les choses au cours des derniers millions d'années d'évolution des primates. La question n'est pas simplement que nous décidions de ne pas aimer le plan de Mère Nature parce qu'il n'est plus à la mode, et que nous allons le changer. Nous sommes ce que nous sommes. C'est-à-dire que nous sommes ce que des millions d'années d'évolution ont fait de nous. Un homme est un homme dans chaque cellule de son corps et de son cerveau, pas seulement dans son système génital, et une femme est une femme au même degré. Nous avons été totalement et précisément adaptés à nos différents rôles. Nous ne pouvons pas changer la réalité en faisant passer une loi de droits civiques. Si nous nous trompons nous-mêmes en pensant que nous le pouvons, il y a un prix à payer. Ce qui revient à dire que nous finissons par avoir une quantité d'hommes et de femmes très troublés, déçus, et malheureux. Nous finissons aussi par avoir une quantité d'hommes et de femmes très irrités, ce qui explique l'existence des féministes et des phallocrates. Il est vrai, bien sûr, que certaines femmes peuvent être parfaitement heureuses comme femmes d'affaires ou comme professionnelles du combat au couteau, de même que certains hommes se sont volontiers adaptés au Nouvel Ordre Mondial en devenant moins agressifs et plus «sensibles». Mais ça ne marche pas de cette manière pour les hommes et les femmes normaux. Ce que l'homme normal veut et recherche réellement n'est pas un partenaire commercial et un camarade de chambre du sexe opposé, mais une vraie femme qu'il peut protéger et entretenir. Et ce qu'une femme normale veut et recherche réellement avec chaque fibre de son être, quelle que soit la quantité de propagande féministe qu'elle a absorbée, c'est un vrai homme, qui peut l'aimer et la protéger et subvenir à ses besoins et à ceux de leurs enfants. Si elle a trop regardé la télévision et qu'elle s'est laissée persuader qu'à la place d'un homme fort et masculin elle voulait une mauviette sensible qui la laissera porter les culottes la moitié du temps dans la famille, elle se dirige vers une violente collision avec la réalité de sa propre nature. Elle finira par devenir complètement névrosée, poussant quelques hommes vers la phallocratie, et devenant elle-même une charge pour la société. Notre société ne peut plus se permettre ce genre de sottises. Si le féminisme ne faisait que rendre les individus malheureux, je ne m'en inquiéterais pas beaucoup. J'ai toujours pensé que les gens avaient le droit de se rendre aussi malheureux qu'ils le voulaient. Mais malheureusement, il détruit notre société et affaiblit notre race, et nous devons y mettre fin rapidement. K.A.S. : Comment proposez-vous de faire cela? Le mouvement féministe semble vraiment faire boule de neige, et comme vous l'avez signalé, les médias lui sont entièrement favorables. Il semble sacrément difficile de le stopper. Quiconque s'oppose aux féministes est perçu comme un phallocrate qui veut priver les femmes de leurs droits et les confiner dans la cuisine et dans la chambre à coucher. W.L.P. : Eh bien, bien sûr, je ne souhaite pas priver les femmes de quoi que ce soit. J'aimerais donner aux femmes l'option d'être à nouveau des femmes à la manière traditionnelle, à la manière de la Nature, l'option de rester à la maison et de s'occuper de leurs enfants et de faire un foyer pour leurs maris. Ce ne sont pas les féministes, bien sûr, qui ont changé notre économie de sorte qu'il n'est plus possible pour beaucoup de familles de survivre si l'homme et la femme ne travaillent pas tous les deux hors du foyer. Une société qui oblige les femmes à sortir du foyer et à entrer dans les bureaux et les usines n'est pas une société saine. Je voudrais que notre société soit changée de manière à ce qu'il soit à nouveau possible pour les mères de rester à la maison avec leurs enfants, ce qu'elles faisaient avant la seconde guerre mondiale, avant que les hommes du Nouvel Ordre Mondial mettent la main sur notre économie et lancent leur plan pour rabaisser le niveau de vie du salarié américain moyen au niveau du Mexicain moyen. Je pense que beaucoup de femmes voudront rester à la maison s'il est possible de le faire. Et je suis sûr que si nous fournissons les bons modèles de rôle féminin, la plupart les désireront. Si nous reprenons le contrôle de notre industrie de télévision, de nos industries d'information et de divertissement et de publicité, nous pouvons promouvoir un modèle de la femme idéale très différent de celui qui est promu aujourd'hui. La plupart des femmes, tout comme la plupart des hommes, veulent être à la mode. Elles tentent de faire et d'être ce qu'on attend d'elles. Nous devons juste rapprocher ce modèle de celui que Mère Nature avait à l'esprit. Ensuite il n'y aura pas besoin de priver quiconque de ses droits. Quelques avocates avec des cheveux ultra-courts peuvent parfaitement être tolérées dans une société saine -- quelques cracheurs de feu, quelques mangeurs de verre, un peu de toutes sortes de gens -- aussi longtemps que leur bizarrerie particulière ne commence pas à miner la santé de toute la société. K.A.S. : Mais que faire des gens qui contrôlent les médias actuellement -- que faire des législateurs -- qui sont du coté des féministes? Ils sont très puissants. Que ferez-vous avec eux? W.L.P. : Nous ferons tout ce qui nécessaire. Pour l'instant nous aidons les gens à comprendre le féminisme et les autres maux qui affectent notre société. La compréhension doit vraiment venir en premier. Après la compréhension vient l'organisation. Et ensuite, comme je l'ai dit, tout ce qui est nécessaire. Et j'ajouterai ceci: tout ce qui fuit la réalité est intrinsèquement autodestructeur. Mais nous ne pouvons pas attendre que cette maladie s'éteigne d'elle-même. Les dégâts seraient trop grands. Nous devons nous lever et nous y opposer maintenant. Nous devons changer l'attitude des gens face à la mode du féminisme. Nous devons faire comprendre aux politiciens qui suivent le mouvement féministe qu'il y aura un prix très lourd à payer, un jour, à cause de leur irresponsabilité. K.A.S. : Pensez-vous vraiment que vous pouvez changer le comportement des politiciens? W.L.P. : Peut-être pas, mais nous devons au moins leur donner une chance de changer. Malheureusement, dans le cas des politiciens la plupart d'entre eux ont à répondre de bien d'autres crimes en plus du soutien au féminisme, et ils savent qu'ils ne peuvent être pendus qu'une seule fois.
Article publié dans Free Speech, septembre 1996, volume II, numéro 9. Trad. Arjuna. |